Ramonage de cheminée – Interventions dans le département Lot-et-Garonne (47)

Situé en région Nouvelle-Aquitaine, le département de Lot-et-Garonne (47) couvre 5 360 km² et rassemble 331 271 habitants, avec une densité moyenne de 61,80 hab/km². Ce territoire, composé de 319 communes, présente des logements et appareils de chauffage variés, ce qui rend le ramonage incontournable pour préserver sécurité, confort et longévité des installations.

Un ramoneur certifié intervient avec un hérisson (ramonage mécanique), vérifie l’intégrité du conduit (chapeau, étanchéité, continuité), élimine la suie et les dépôts de bistre, puis délivre un certificat de ramonage. Ce document peut être exigé par votre assurance habitation en cas de sinistre ; conservez-le avec vos justificatifs d’entretien.

Règles locales et justificatifs attendus

Le Règlement Sanitaire Départemental (RSD) encadre la fréquence des passages : dans la plupart des cas, au moins 1 ramonage par an est requis, et jusqu’à 2 pour les combustibles solides (usage intensif bois/charbon). Certaines communes précisent des périodes privilégiées (printemps/automne) par arrêté municipal. En copropriété, référez-vous également aux consignes du syndic.

Organisation administrative du département

Le département est structuré en 4 arrondissements et 24 cantons. Selon les secteurs, la pression urbaine, la typologie des habitats ou la présence de zones boisées peuvent influer sur l’encrassement des conduits, d’où l’intérêt d’anticiper vos rendez-vous en fonction de votre usage.

Pourquoi ramoner chaque année ?

• Réduire les risques d’incendie grâce à l’élimination de la suie et du bistre (hautement inflammables).
• Améliorer le tirage et la qualité de combustion pour un meilleur rendement thermique.
• Limiter les fumées et les odeurs, éviter le refoulement et l’encrassement des vitres.
• Prévenir l’intoxication au CO (monoxyde de carbone) en assurant une évacuation correcte.
• Rester couvert par l’assurance via le certificat remis après intervention.

Conseils d’usage entre deux interventions

• Brûler un bois sec (< 20 % d’humidité) ; proscrire bois traités/peints et déchets.
• Maintenir un apport d’air suffisant ; ne pas obstruer les grilles de ventilation.
• Surveiller les signes d’encrassement : vitre qui noircit vite, tirage faible, odeurs.
• Contrôler le chapeau de cheminée après vents forts (feuilles, nids).
• Installer et tester un détecteur de monoxyde de carbone.

Département Lot-et-Garonne (47)

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